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« J’ai bien écouté tes chansons enregistrées  en public… j’avais l’impression d’entrer dans mon univers. Je ne te dis qu’un mot : fonce toujours ça passe ! Garde ta route pas facile, mais les gens t’écoutent, ils rigolent et une salle qui s’amuse grâce à toi, c’est le bonheur. Cher Bonfils tu fais partie de ma famille, celle des gens qui donnent du sourire et qui font oublier les vicissitudes tous azimuts. Vas-y mon gars, je te cautionne à fond la caisse.

Je t’écrase contre moi. »

 

Ricet Barrier

Si vous voulez savoir ce que je fais comme chansons je vous propose de cliquer sur cette couverture du n°90 de VINYL et de jeter un oeil au pdf qui en sortira. En fait le journaliste a tout écouté, tout pigé, j'ai plus rien à dire, mince alors... ça fait drôle...

 

La bouche fendue d'un rictus satanique, des yeux ribouldingues, une diction qui désosse le verbe avec une pointe d'aïoli, le Bonfils est un chroniqueur, un éditorialiste. Il se nourrit des trucs obsessionnels qui font les titres des journaux populaires : la mort de Diana, les sectes, les bombes en Corse, le Tour de France, les pédophiles...

Son humour fait l'effet d'une loupe, d'un microscope qui vous révèle en la grossissant l'état de la tumeur. Il a d'ailleurs été lui même chercheur, et il a conservé le regard objectif et cruel du sociologue ou de l'entomologiste, cataloguant dans une sorte d'alarmant bulletin de santé les signes avant coureurs de la nécrose d'une société en phase terminale !

Et ça vous fait rire ?

 

Claude Astier

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